C’est touchant de constater ces gens qui ne comprennent pas "la violence" des salariés qui veuillent exploser leur usine. Qu’on t’il à dire ces gens si raisonnable pour leur défense? Pas grand chose mais la ligne est défini, vous savez la lutte des classes pour ceux qui ont oublié…(1)(2)
Les politiques umps n’ont rien à dire face au sort des New Fabris car ce n’est pas eux qui controlent ou du moins ils disent qu’ils ne peuvent rien faire alors qu’en période électorale "Tout devient possible" (sorte de Yes we can français).
Yes we can, délocaliser et proposer des offres de poste en Inde pour 300 euros par mois.
Yes we can, fermer sa boite et virer ses employés en envoyant "une note interne".
Yes we can, condamner la violence des salariés virés et donner toujours plus au patronat.
Yes we can, mener le mouvement social vers l’oubli et se moquer des petits gens.
Yes we can, expulser des sans papiers de ses locaux manu militare et se dire au coté des travailleurs.
Il faudra un jour le dire, l’affirmer haut et fort et réduire au silence ces syndicats et partis politique corrompus, la lutte des classes existent et ce n’est qu’en se mobilisant tout ensemble contre les dirigeants que nous pourrons gagner.
(1) Pour rappel plus aucunes organisations syndicales et politiques à part peut etre L.O. reconnaient la lutte des classes.
(2) L’argument de l’image de la France à l’étranger ou de la compétitivité tombent à l’eau avec ces milliers de poste supprimés chaque jour.C’est le capitalisme mondial qui est malade…
liens : François Ruffin et la guerre des classes : http://www.legrandsoir.info/article7315.html
Noam Chomsky "Il y a toujours une lutte des classes, prete à exploser"-interview mai 2008 : http://www.legrandsoir.info/article6938.html